Il partito della sinistra lussemburghese, Dei Lenk, La Sinistra, ha festeggiato il febbraio scorso, i dieci anni dalla sua fondazione e si prepara alle prossime elezioni europee. Al meeting hanno partecipato rappresentati della sinistra tedesca, belga e francese.
10 ans déi Lénk - une fête d'anniversaire un peu différente
02/13/2009
Hw.- Le Grand-Duc ne se trouvait pas parmi les invités ni aucun autre dignitaire du régime. Pas d’officiels, pas de cérémoniel, pas d’encens. Le dixième anniversaire était une fête entre amis.
“Dix ans deja? Non, dix ans seulement, car ce n’est qu’un début.” André Hoffmann n’avait pas envie d’énumérer les mérites de l’organisation qu’il a contribuée à fonder. “Je n’ai pas besoin de montrer combien souvent nous avions raison. En matière d’analyse nous n’avons pourtant pas à rougir devant les experts de la haute finance et de la politique.”
D’abord deux messages écrits: celui d’Antoni Montserrat, président du CLAE, au nom de tous les étrangers vivant au Luxembourg et celui de Lothar Bisky, président du Parti de la Gauche Européenne, au nom des 600.000 militants de 30 partis. Ensuite 4 messages d’amis et voisins.
Roger Tirlicien, pour les communistes de Lorraine (“Par ma présence au 10e anniversaire de la création de Déi Lénk je suis venu dire dans un contexte de crise mondiale l’engagement du PCF pour une autre Europe. Nous avons la responsabilité d’entendre la colère des peuples d’Europe qui en ont assez de souffrir des politiques libérales au service du capitalisme mondialisé.”), Pierre Eyben, Liège, pour les communsites belges (“Il n’est pas aisé d’unir la gauche de la gauche. Nous pensons que les communistes doivent aujourd’hui participer à un front de gauche”). Heinz Bierbaum, die Linke Sarre, apportant les saluts de Rolf Linsler et d’Oskar Lafontaine (“La crise n’est pas un incident de parcours, cette crise est la crise du capitalisme et elle signe l’échec des politiques néo-libérales.”) Katrin Werner, Trèves, vice-présidente de la Linke de Rheinland-Pfalz (“Déi Lénk peut être fière de faire de la politique de gauche au centre de la place financière. Nous connaissons son courage et son professionnalisme.”)
Deux orateurs: Marc Baum, lycéen au moment de la fondation de déi Lénk, représentant de la jeune génération, pour faire le bilan rétrospectif, (“déi Lénk a été fondé comme un rassemblement de courants divers dans le but d’opposer un front uni à la pensée unique capitaliste et de donner une structure aux mouvements qui considèrent le dépassement du capitalisme non comme le but en soi, mais comme le moyen en vue d’une société plus libre”). Jean-Luc Mélenchon, sénateur, ancien ministre socialiste, président du Parti de gauche fondé il y a deux semaines, pour montrer les alternatives face aux bouleversements sociaux qui s’annoncent (“Pour la première fois je me trouve hors de France en tant que président du Parti de Gauche. Considérez ma présence ici comme la forme d’un nouvel internationalisme”).
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